Grâce au verdict du 24 juin 2022: déjà 50 cliniques d’avortement fermées!
Et les organisations pro-vie continuent de s’engager
Siège de la Cour suprême des USA, à Washington, D.C.: …
… C’est devant ce bâtiment qu’avec beaucoup d’autres gens, les jeunes femmes figurant sur l’image se sont réjouies du verdict venant d’être rendu.
De beaucoup de protection (vert foncé) en passant par quelque protection (vert clair) jusqu’à presque aucune protection (rouge): c’est la situation actuelle des enfants à naître dans les différents États fédérés.
Il n’existe dans la Constitution aucun «droit à l’avortement», statua la majorité conservatrice des neuf juges suprêmes des USA le 24 juin. Les médias dominants déversent un flot d’indignation… et des partisans encore plus radicaux de l’avortement n’hésitent même pas à attaquer des établissements des défenseurs de la vie. Mais «la vie gagne de nouveau en Amérique», comme dirait l’ancien vice-président Mike Pence!
Signe de cette victoire: de nouvelles lois anti-avortement qui protègent la vie, dans de nombreux États fédérés (cf. carte). Ces lois à leur tour font que dans tous les USA, depuis le 24 juin, environ 50 cliniques d’avortement ont fermé ou ont été fermées. Selon une étude publiée l’an dernier aux USA, on avorte d’autant moins que la clinique d’avortement la plus proche est éloignée – les lois pro-vie sont donc efficaces et sauvent des enfants à naître!
Violence contre les pro-vie
Certains partisans radicaux de l’avortement réagissent par une hostilité verbale ou même physique à la révision de la décision «Roe contre Wade». Le nombre de ces incidents a fait un bond aux USA. Des dizaines de cas de vandalisme allant jusqu’à l’incendie criminel ont été enregistrés ces dernières semaines; ils visent les églises, les centres de maternité de même que d’autres organisations pro-vie.
Un souci qui tient à cœur
Le devoir des organisations pro-vie aux USA visant à promouvoir une culture de la vie, continue. Il y a notamment beaucoup à faire dans les États fédérés où les enfants à naître ne sont encore quasiment pas protégés. De plus, la question de l’avortement dépasse la politique et les lois: Pour que l’avortement devienne vraiment «impensable», la protection des enfants à naître doit devenir pour tous un souci qui tient à cœur. Ceci vaut aussi pour la Suisse!